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Se retrouver, devenir Soi

15 novembre 2016

La Danseuse de Khalil Gibran

 Tony Dudley

 

Photo Tony Dubley                                                                                                     

 

  

La Danseuse

 

La Danseuse

Par un jour, la cour du prince convia une danseuse
Accompagnée de ses musiciens.

Elle fut présentée à la cour,
Puis elle dansa devant le prince
Aux sons du luth, de la flûte et de la cithare.

Elle dansa la danse des étoiles et celle de l’univers ;
Puis elle dansa la danse des fleurs virevoltant dans le vent.
Et le prince d’être subjugué.

Il la pria de s’approcher.
Elle se dirigea alors vers le trône
Et s’inclina devant lui.
Et le prince de demander :

« Belle femme, fille de la Grâce et de la joie, d’où vient ton art ?
Comment peux-tu maîtriser la terre et l’air dans tes pas,
L’eau et le feu dans ta cadence ? »

La danseuse s’inclina de nouveau devant le prince et dit :

« Votre Altesse, je ne saurais vous répondre,
mais je sais que :

L’âme du philosophe veille dans sa tête.
L’âme du poète vole dans son cœur.
L’âme du chanteur vibre dans sa gorge.
Mais l’âme de la danseuse vit dans son corps tout entier. »

 

Khalil Gibran

 

 

 

  

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11 novembre 2016

Sourire

 

Photo David Burton

 

 

SOURIRE

 

Je n'attends jamais d'être joyeux pour sourire.
Je souris et la joie viendra après.
Il y a des moments où la joie produit le sourire.
Le sourire est la conséquence.
Mais il y a des moments où vous produisez un sourire comme cause et alors la relaxation, le calme et la joie deviennent l'effet.
Il y a des moments où il fait très noir dans ma chambre, personne ne peut me voir, mais je continue à pratiquer le sourire à moi-même. Je souris à moi-même. Je veux être gentil avec moi-même. Je veux m'aimer et prendre soin de moi-même. Parce que je sais que si je ne sais pas prendre soin de moi-même, je ne saurais pas prendre soin de quelqu'un d'autre.
Avoir de la compassion pour soi est très important.
Prendre soin de soi est une pratique très importante.
Quand vous êtes fatigués, en colère, désespérés, vous devriez savoir comment retourner à vous-mêmes et prendre soin de votre colère, de votre désespoir.


Thich Nhat Hanh

Thich Nhat Hanh — Wikipédia

 

 

 

 

1 septembre 2016

les danseurs plus intelligents...

yoga-pour-seniors-paris-shopping-7811 

 

 

Une étude révèle que les séniors qui pratiquaient la danse sont nettement moins touchés par la dégradation de leurs fonctions intellectuelles que ceux qui pratiquaient toute autre activité. Pour se prémunir de la démence sénile ou de maladies dégénératives telles que la maladie d'Alzheimer, danser semble donc réellement efficace.

 

L'étude

Des chercheurs en neurologie du Collège de médecine Albert Einstein, aux États-Unis, ont étudié le lien entre la pratique d'activités de loisir et l'apparition de la démence. La démence sénile (ou sénilité) est une dégradation des facultés intellectuelles apparaissant chez les personnes de plus de 70 ans.

L'étude a porté sur 6 activités de loisir (lecture, écriture, mots croisés, cartes, discussions, musique) et 9 activités physiques (natation, vélo, danse, groupes d'exercice, jeux d'équipe tels que le bowling, marche, ménage, babysitting) en attribuant notamment des points en fonction de leur fréquence de pratique passée (quotidienne, plusieurs fois par semaine, une fois par semaine, mensuelle ou jamais). Les sujets étaient âgés de plus de 75 ans.

 

La danse, plus efficace que les mots croisés

Parmi les activités physiques étudiées, la danse est la seule qui diminue considérablement le risque d'apparition d'une démence sénile. Pratiquée régulièrement, elle réduit ce risque de 76 % ! Deux fois plus que la lecture. Les autres activités physiques n'ont pas indiqué d'impact important. À la différence de la plupart des autres pratiques physiques, la danse implique un effort mental et des interactions sociales significatives. L'association des stimulations intellectuelles et sociales semble donc être la raison pour laquelle les danseurs réguliers sont davantage prémunis. La seule activité physique n'a pas d'effet protecteur démontré contre la sénilité, bien qu'elle soit clairement bénéfique à la santé.

Parmi les activités cognitives, la lecture, les jeux de société et jouer d'un instrument de musique sont associés au plus faible risque de démence. Le risque de maladie d'Alzheimer et de démence vasculaire est 47 % plus faible pour ceux qui jouent aux mots croisés quatre fois par semaine que pour ceux qui y jouent une seule fois par semaine.

 

Les danseurs, plus intelligents

Si la danse peut aider à mieux vieillir, elle a également un effet immédiat, à tout âge, sur l'intelligence. Selon Howard Garder, psychologue du développement de l'université de Harvard, il existe 9 formes d'intelligence. L'intelligence corporelle-kinesthésique est l'une d'elles. Il s'agit de l'intelligence du mouvement. Les danseurs sont comme les athlètes ou les chirurgiens, ils sont corporels intelligents, ce qui signifie qu'ils ont plus de capacité à manipuler des objets et de grandes aptitudes à utiliser leur motricité. Ils peuvent mettre les choses ensemble, et même inventer, avec une grande facilité. En plus de la gestion efficace des objets, ils ont de meilleures capacités pour l'équilibre, la coordination, la vitesse, la force et la souplesse. Les grands danseurs sont souvent de grands athlètes. En outre, ils ont plus de facilité à transmettre leurs sentiments et pensées à l'aide de mouvements corporels, ainsi qu'à apprendre en imitant les actions d'une personne.

 

Par Pierrick

 

Source : www.partenaire-danse.fr

 

 

 

13 août 2016

Contagieux

 

Photo Michael Korolev

 

 

9 choses contagieuses

(sans que vous ne le sachiez !)

 

 

Saviez-vous que le baîllement ou certaines émotions peuvent s'avérer aussi contagieux qu'une grippe ?

Veillez à laisser les choses négatives de côté au profit des bonnes ondes !

 

 

1/ Le stress

Une étude publiée dans le journal Social Neuroscience en 2012 a démontré que le simple fait d’être au contact d’une personne stressée influerait sur notre production de cortisol, l’hormone du stress. D’autres recherches ont avancé que nous étions réceptifs à l’odeur de sueur, même indétectable, d’une personne stressée, et que cela suffit à nous mettre en alerte.

 

2/ Les objectifs

Avez-vous déjà remarqué comme un enfant peut se focaliser sur un jouet juste parce qu’un autre enfant le désire, et s’en désintéresser une fois qu’il le possède ? Une étude de 2012 a démontré que ce qui nous motive, c’est l’envie de posséder plutôt que le fait de simplement posséder. Vouloir ce que les autres pourraient avoir à notre place nous permet d’avancer et de nous dépasser.

 

3/ La solitude

La solitude nous rend négatifs, irritables et nous met sur la défensive. Les gens solitaires sont donc plus susceptibles de mal se comporter avec les autres. Ces nouvelles personnes font donc de même avec les suivantes, et ainsi de suite, perpétuant une mauvaise énergie.

 

4/ La peur

Il est possible de ressentir la peur d’une personne à ses expressions faciales mais aussi à son odeur. Cela explique notamment comment les mouvements de panique se forment sans raison apparente dans une foule. Cette réponse permet aux « groupes » de mieux se protéger du danger.

 

5/ Le dégoût

Les signaux chimiques que libère notre organisme peuvent véhiculer différentes émotions, même si les phéromones sécrétées à travers notre peau ne sont pas forcément détectables. Ainsi, nous pouvons partager des émotions comme le dégoût.

 

6/ La Joie

Il n’est pas nécessaire d’avoir un contact direct avec une personne pour véhiculer la joie. Il est possible de communiquer le bonheur rien que part le regard. Ainsi, l’attitude joyeuse d’une personne peut suffire à transmettre la bonne humeur à travers tout un groupe de personnes.

 

7/ Les pensées négatives

Il n’y a pas que les émotions qui peuvent passer d’une personne à l’autre, mais aussi une façon de penser, comme la tendance à voir tout en noir. Une étude récente a démontré que les étudiants se calent souvent sur l’état d’esprit de leur colocataire. Ainsi, ceux qui partagent leur habitat avec une personne souriante et positive abordent la vie d’une meilleure façon, tandis que ceux qui sont entourés de négativité finissent par broyer du noir.

 

8/ L'essoufflement

Attention quand vous êtes à votre salle de sport et que vous jetez un œil aux autres personnes. Quand celles-ci ont les joues gonflées et peinent à trouver leur respiration, cela a un impact également sur vous en accélérant votre respiration. Cela serait dû à notre capacité d’empathie, qui provoque une réponse involontaire de notre organisme.

 

9/ Les démangeaisons

Voir quelqu’un se gratter active les zones de notre cerveau en cause dans les perceptions physiques de démangeaisons. Encore une fois, notre capacité d’empathie y serait pour beaucoup !

 

 

Source :  HNEC

 

 

 

 

9 août 2016

Les rides inquiètent

Ashley Lebedev

 Ashley Labedev 

 

 

 

 Les Femmes

plus obsédées par les rides

que par leur poids

 

 

 

Stéphanie Bataille est Peggy Guggenheim

 

 

Avec l’âge, l’apparition des rides inquiète davantage les femmes qui en font un sujet de conversation numéro un, devant la minceur, selon une étude.

 

Plus elles vieillissent, plus les femmes deviennent exigeantes avec elles-mêmes s’adonnant à l’autocritique. Leur physique est la cible privilégiée de leur mécontentement, sauf que désormais les femmes tancent plus leurs rides et autres signes naturels du vieillissement que les éventuels kilos indésirables.

Preuve en est que dans les conversations le classique "je me sens si grosse" est remplacé par "j’ai l’air vieille". La psychologue Carolyn Black Becker, chercheuse à la Trinity University aux Etats-Unis a examiné la prévalence de ces sujets de conversation minceur sur les sujets de conversation plus liés à l’âge chez des femmes âgées de 18 à 87 ans. 914 femmes américaines, britanniques et australiennes ont répondu à une enquête en ligne sur leur âge, leur poids, leur image, leurs sujets de conversation privilégiés, leur comportement alimentaire etc.

 

 

L’auto dépréciation augmente le risque de trouble alimentaire


Les résultats ont dégagé une tendance nette à la négativité quand il s’agit de parler d’elles. 81 % parlent de leur poids de façon occasionnelle, et 66 % parlent des conséquences physiques liées à l’âge. Les discussions sur la minceur et le poids sont courantes chez les femmes quel que soit leur âge. Même si elles ont tendance à s’effacer après 61 ans. A l’inverse, les conversations centrées sur la vieillesse traversent toutes les tranches d’âge et ont tendance à augmenter à mesure que les femmes vieillissent.

L’étude rappelle que parler de soi de façon négative peut donner une mauvaise estime de soi, et générer des troubles du comportement alimentaire, comme la boulimie et l’anorexie. Les plus de 50 ans seraient de plus en plus touchées selon une étude américaine parue dans le Journal of Eating Disorders..13 % des femmes de plus de 50 ans seraient obsédées par leur poids au point de souffrir de ces troubles du comportement alimentaire.

 

Auteur : Emilie Cailleau 

Source : Topsanté.mondadori.com

 

 

 

 

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5 août 2016

La jeunesse avec soi

 

 

 

 

Désespoir, amour, gaieté.

Qui a ces trois roses enfoncées dans le coeur

a la jeunesse pour (elle) ou lui, avec (elle) ou lui.


Christian Bobin - La plus que vive -

 

 

 

 

 

1 août 2016

Apprendre à bien dormir (photo)

 Photo de Taylor Marie McCormick

 

  

Bien dormir, ça s’apprend

 

Une bonne nuit de sommeil, et nous voyons la vie autrement au réveil. Esprit reposé, énergie décuplée, le sommeil est réparateur, et ça se sent. Comment s’assurer des nuits réparatrices ?

 

 

 

Quels sont nos besoins ?

À chacun son nombre d’heures de sommeil. Certaines auront besoin d’une longue nuit, quand d’autres se contenteront de quelques heures. Mais en moyenne, il faut 8 heures pour se sentir régénérée. Voire même 9H25 pour une femme, selon certains spécialistes. Mais le principal est surtout de se sentir bien au réveil. C’est le baromètre qui indique si les heures de sommeil ont été suffisantes ou non.

 

 

Le manque de sommeil en quelques maux

Le manque de sommeil agit sur la santé et le moral. Des études ont prouvé qu’un temps de sommeil trop court entrainait une augmentation de la pression sanguine et du taux de sucre, ainsi que des pertes de mémoire. À long terme, les conséquences sont encore pires avec un vieillissement prématuré. Sans parler du reflet sur le visage : traits tirés, peau moins nette sont au rendez-vous.

Ceux qui « sautent » des heures de sommeil devraient savoir à quoi ils s’exposent : risques de refroidissement, diminution de l’immunité. Et une privation de plus de 6 mois peut entrainer des dépressions, des crises d’angoisse, et par effet rebond, la prise injustifiée de médicaments.
Autre désagrément non négligeable : la prise de poids. Et c’est normal, pour combattre les baisses de régime, le corps réclame du sucre. Non seulement les kilos s’installent, mais il est aussi plus difficile de les perdre. En cause, le taux de cortisol, une hormone du stress qui augmente en cas de manque de sommeil. Sans compter l’augmentation de l’activité des enzymes régulant le stockage des graisses. Pour cette raison, les travailleurs de nuit souffrent souvent d’un surpoids.

 

 

La clé des songes

Quelques règles d’or pour retrouver les clés d’un sommeil idéal :

-    Un dîner léger, nous nous imposerons.
-    La télévision dans la chambre, nous oublierons.
-    Dès les premiers signes de sommeil, nous coucher nous irons.
-    Les excitants après 17 h nous éviterons.
-    De l’exercice régulier, nous ferons.
-    En savoir plus sur le sommeil à travers une association officielle : http://www.sommeilsante.asso.fr/

 

Souce : ma vie en couleur

 

Extrait de l'album "Petites chansons du soir"
Illustrations Marc Chaubaron
Arrangements musicaux: Michel Précastelli
Album disponible sur le site:
www.fabienne-marsaudon.com
29 juillet 2016

Tout est miracle

Photo Vineet-Radhakrishnan

 

 

C'est lorsque nous n'attendons plus rien

que tout arrive

 

J’observe la vie avec tranquillité, désactivant les peurs, les égoïsmes et les idées négatives qui retardent mon chemin. Mon esprit est ouvert à toutes les choses positives.

Je n’attends rien, mais j’attends tout.

Parce qu’au final, tout finit par arriver.

<< C’est quand nous n'attendons plus rien que tout arrive >>, avons-nous déjà entendu ce genre de phrase ?

Il est curieux d’analyser les réalités simples qui se cachent derrière ces phrases ou ces expressions de la psychologie populaire.

Il est fort probable que plus d’une personne pense que cette idée de «ne rien attendre» renferme une certaine attitude défaitiste de quelqu’un qui se laisse porter par les ficelles des autres et par la force des circonstances.

Cependant, c’est tout le contraire. Ne rien attendre et laisser les choses se produire quand elles doivent arriver, c’est agir avec équilibre, ouverture et permissivité intérieure.

Jour après jour, nous accumulons généralement de nombreuses attitudes et pensées limitantes, et nous le faisons pratiquement sans même nous en rendre compte…

“Je ne vais pas lui proposer cela car il va me dire non”. “Mieux vaut que j’essaye un autre jour parce que je vais échouer c’est certain”, “Avec moi ce genre de choses ne se passent jamais bien, alors si c’est pour que ça se passe mal, autant ne même pas essayer…”.

Parfois, nous nous mettons des obstacles sur notre chemin pour empêcher les choses de se produire. Nous devons être ouverts, ouverts d’esprit et de coeur. Voici quelques conseils.

 

Éliminer les attitudes limitantes

Commençons par une petite réflexion : si nous ne sommes pas conscients de nos propres attitudes limitantes, nous ne pourrons jamais faire tomber ces murs qui empêchent les choses de se produire.

Pour se rendre compte de toutes ces choses qui «logent» dans notre intérieur, qui nous coupent les ailes dans notre développement et qui réduisent une partie de notre bonheur, nous devons comprendre d’où viennent les attitudes limitantes :

 

- Notre éducation

Une grande partie de ce que nous sommes aujourd’hui provient de toutes ces étapes préalables dans lesquelles nous avons construit un lien avec notre père, notre mère, notre grand-père, notre grand-mère et nos frères et soeurs.

Si ces derniers ne nous offraient pas de sécurité, s’ils critiquaient nos pensées et nos idées, s’ils nous surprotégeaient ou qu’ils ne nous démontraient pas d’affection, tout cela a laissé des traces en nous.

Il est fort probable qu’en gagnant de la maturité, nous essayerons de changer en nous la plupart de ces attitudes limitantes.

Les échos d’une enfance traumatique ont généralement pour habitude de nous limiter dans de nombreux aspects.

Ne laissons pas cela se produire. N’arrêtons jamais de faire confiance aux autres et encore moins au fait que tout finira par arriver.

 

- Les expériences négatives mal gérées

La vie n’est pas toujours facile, et selon l’attitude et les stratégies personnelles avec lesquelles nous affrontons les choses, nous obtiendrons tel ou tel apprentissage.

Si votre moitié nous délaisse, ne faîsons jamais l’erreur de penser que nous ne méritons pas d’être aimé.

Affrontons cette douleur avec force, avancons en gardant la tête haute et ouvrons vos espoirs à la vie en osant de nouveau aimer et en acceptant de nous laisser aimer.

Si vous échouez dans un projet, ne baissez pas les bras, et ne vous mettez pas en tête des idées telles que celles qui visent à vous faire croire que vous n’êtes pas capable d’y arriver.

Restructurons nos pensées, apprenons de nos erreurs, tirons des leçons et concentrons-nous de nouveau vers ce but.

Parfois, la plupart de ces attitudes limitantes font partie de notre propre personnalité, de nos indécisions, de nos peurs, et du fait que nous fermions des portes sans même nous en rendre compte parce qu’on préfère rester bien tranquille dans notre «cercle de sécurité».

La vie c’est avancer chaque jour un peu plus loin de sa zone de confort. C’est là-bas que les choses se produisent et que tout arrive.

S'autoriser à ne rien attendre mais à rêver un peu

Il ne s’agit pas de plus rien attendre du tout, mais de restructurer un peu notre attitude envers la vie, envers nous-mêmes, en autorisant les choses à se produire.

Voici comment :

– Évitons la «vision du tunnel». Nous l’avons tous déjà vécu au moins une fois. Ce sont ces moments dans lesquels nous nous focalisons sur quelque chose de concret, en perdant la capacité de voir ce qu’il se passe autour de nous.

Il se peut que certains jours nous pensions que rien n’a de solution, que les choses sont «comme elles sont» et qu’il n’y a pas de remède à l’inévitable.

Désactivons ce genre de pensées. Attention, il ne faut pas non plus adopter un «positivisme aveugle» qui créerait de faux espoirs.

Prenons l’air, n’attendons rien mais gardons notre esprit ouvert en observant tout ce qui nous entoure, et laissons-nous porter avec espoir et tranquillité.

– Laissons de côté ce que nous ressentons et pensons plutôt à ce dont nous avons besoin. Parfois, les sentiments nous aveuglent et nous empêchent de voir clair.

Il y a des moments où l’amour, par exemple, même s’il nous cause du malheur, il nous enchaine à une relation de laquelle nous ne voulons pas nous «détacher».

 

Au lieu de nous laisser envahir par nos émotions, demandons-nous plutôt de quoi nous avons besoin :
Avons-nous besoin de liberté ?
Avons-vous besoin d’être nous-même ?
Autorisons-nous à être heureux de nouveau.

Notre attitude envers la vie doit toujours être ouverte, tranquille et sûre.

Soyons toujours certain de nos priorités au quotidien et les choses s’enchaineront comme elles étaient censées le faire. À notre rythme.

 

Source C’est lorsque vous n’attendez plus rien que tout arrive : nospensees

 

Il y a deux façons de vivre sa vie : 

L'une comme si rien n'était miracle,

L'autre en faisant comme si tout était miracle

 

Albert Einstein

 

 

 

26 juillet 2016

Le charme, l'atout carrière des femmes

30 Photo de Andréa Hübner 

 

 

Le charme,

l'atout carrière des femmes

 

mirror mirror by Andrea Hübner

Photo de Andréa Hübner

 

 

Un zeste de gentillesse et une bonne dose de séduction, tel serait le secret des femmes qui réussissent, selon une récente étude de l'Université de Berkeley.

 

 

Voilà une étude qui promet de faire hurler les féministes. Une équipe de chercheuses de l'Université de Berkeley a en effet démontré que le charme féminin est un outil efficace pour doper sa carrière.

Attention cependant, à ne pas abuser de la promotion canapé, recommandent-elles. User uniquement de son sex-appeal risque de vous faire passer pour une fille facile, prévient Laura Kray, enseignante à Haas School of Business, citée dans le National Post. Pour envoyer un signal de domination et de confiance en soi, il faut manier à la fois la gentillesse, la flatterie et la séduction.

A en croire les résultats publiés dans le Personality and Social Psychology Bulletin , celles qui usent de leurs charmes seraient de meilleures négociatrices. Une expérience menée sur 100 étudiant(e)s en MBA montre, par exemple, qu'un homme a vendu une voiture 15,9% moins cher à une femme entreprenante.

Les séductrices savent en fait flatter l'égo de ces Messieurs. "Les hommes favorisent les femmes qui usent de leur charme", constatent les chercheurs. A croire que toutes les femmes ne jugent pas bon d'utiliser un tel atout. Les Françaises, par exemple, gagnent toujours 20% de moins que les hommes, selon les derniers chiffres de l'Insee.

 

Source :  capital.fr

 

Lire l'article sur Capital.fr Le charme, l'atout carrière des femmes

Lire aussi :

La beauté, un atout qui dope CV et carrières

La jalousie au bureau, une émotion à combattre

 

 

 

  

20 juillet 2016

De bonnes nuits font une belle peau

 

Photo de Gabriela Herman

 

  

De bonnes nuits

font une belle peau 

 

 

 

Photo de Andréa Hübner

   

 

L'incidence d'un mauvais sommeil sur le vieillissement de la peau est désormais prouvée.
 
 
 

Ecrit par figaro iconNathalie Ferron pour

 

Nous avons tous pu le constater: après une mauvaise nuit de sommeil, notre mine n'est pas des plus radieuses… Et il ne s'agit pas que d'une impression. Une étude commandée par l'institut Estée Lauder a permis de confirmer scientifiquement ce que les dermatologues savaient déjà: un sommeil de mauvaise qualité a un réel impact sur le vieillissement de la peau.

Si les médecins avaient déjà pu démontrer que les troubles du sommeil augmentaient le risque d'apparition de certaines maladies telles que le diabète, l'obésité (23% des bons dormeurs sont concernés par l'obésité contre 44% des mauvais dormeurs), voire certains cancers, les conséquences des troubles du sommeil sur le processus de vieillissement de la peau n'avaient pas encore été démontrés de manière aussi tangible que dans ces travaux publiés récemment et présentés à Edimbourg lors de «l'International Investigative Dermatology Meeting».

Les conclusions des chercheurs de l'University Hospitals Case Medical Center de Cleveland (Ohio) s'appuient sur les témoignages de 60 femmes âgées de 30 à 49 ans. Les volontaires ont répondu à une liste de 19 questions standardisées pour évaluer la qualité de leurs nuits (durée, réveils, insomnies...). Celles qui souffraient d'un sommeil de mauvaise qualité présentaient des signes de vieillissement (relâchement de la peau, perte d'élasticité, ridules plus nombreuses et pigmentation irrégulière) plus marqués que chez les femmes dormant bien.

 

Les femmes qui dorment mal se sentent moins séduisantes

 

Autre conclusion de l'étude: un sommeil de bonne qualité (d'une durée comprise entre 6 et 8 heures, sans réveils nocturnes ni difficultés d'endormissement), induit une faculté de régénération de l'épiderme plus efficace face aux agressions extérieures telles que les coups de soleil, par exemple. Enfin, les participantes évaluent différemment leur apparence selon qu'elles font partie des bonnes ou des mauvaises dormeuses. En résumé, plus les femmes dorment mal, moins elles se sentent séduisantes.

Des conclusions qui ne surprennent guère le Dr Laurence Netter, médecin dermatologue à Paris: «Quand on a mal dormi, on dit souvent qu'on a une sale tête! Cette étude apporte la preuve scientifique du lien existant entre un sommeil de mauvaise qualité et l'accélération du vieillissement cutané», souligne t-elle. Si des études ultérieures permettront certainement de mieux comprendre ce lien de cause à effet, quelques hypothèses peuvent être proposées. «Nous savons que certains taux hormonaux varient selon les heures du jour et de la nuit et que l'effet de certains cosmétiques peut être différent selon l'heure d'application», explique la dermatologue.

Les personnes qui souffrent de troubles du sommeil devront donc d'autant plus veiller à prendre soin de leur peau en suivant quelques règles simples: «Bien nettoyer la peau matin et soir avec un produit ne contenant pas de détergents, bien l'hydrater avec des produits hydratants tels que l'acide hyaluronique et appliquer des crèmes contenant des actifs anti-rides (rétinol, etc.), conclut la dermatologue». Enfin, rappelons que le soleil et le tabac sont les deux principaux facteurs de vieillissement cutané sur lesquels on peut directement agir en limitant l'exposition solaire et en arrêtant de fumer.

EN SAVOIR PLUS:

Se protéger contre les rides

Peau et soleil

LIRE AUSSI:

Se réconcilier avec le sommeil 

 

 

 

 

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