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Se retrouver, devenir Soi
12 février 2012

Actuelle et éternelle Marilyn

  

 

Inégalable Marilyn

 

       

 

       50 ans déjà, et indéniablement

         présente par sa Présence

 

Marilyn Monroe star et icône planétaire, belle à damner, elle alimente aujourd'hui encore tous les phantasmes... La grâce incarnée... Femme enfant à la générosité d'être... Jeune femme fragile, consciente de son pouvoir attractif, à la recherche de la perfection... Prisonnière de son image... Sa joie de vivre (lorsque ses sentiments et son coeur le pouvaient) nous émerveille inlassablement... 

Quelques citations cultes de Marilyn qui nous révèlent sa féminité exacerbée... :

Ce que je porte la nuit ? mais... N 5 de chanel bien sûr !

Je ne me soucie pas de vivre dans un monde d'hommes si je peux y être une femme.

A Hollywood, on vous paiera un baiser mille dollars, et on donnera cinquante cents pour votre âme. Je le sais, parce que j'ai souvent refusé la première proposition, et très souvent mendié la seconde.

C'est l'humeur et l'état d'esprit d'une femme qu'un homme doit stimuler pour que le sexe ait un intérêt. L'amant, le vrai, c'est celui qui vous fait fondre rien qu'en vous touchant la tête, en vous souriant droit dans les yeux.

 

 

Marilyn reste unique et nous touche indéfiniment

Pour connaître davantage Marilyn, il serait peut-être sympathique de lire :

Fragments

Poëmes, écrits intimes, lettres de Marilyn Monroe, traduit par Thiphaine Samoyaut, date de parution le 10 mai 2012.

Marilyn était un mythe de son vivant mais sa mort prématurée a encore nourri son mystère.

Le livre Fragments, édité par Bernard Comment et Stanley Buchtal permet d'atteindre la réalité du mythe de Marilyn Monroe, de découvrir la sensibilité exacerbée, la véritable créativité, qui se cachait derrière l'image de la blonde pulpeuse à laquelle ont voulut à tout prix - les studios d'Hollywood les premiers - La réduire. 

On découvrira dans ce livre, en exclusivité, les textes de l'actrice : fragments, notes, poëmes, correspondance, et même recettes de cuisine... Tous ces documents nous révèlent la grâce d'un être fragile, sujet à une perpétuelle introspection et en permanente quête d'amour. Et plus encore, le talent et la profondeur d'une artiste sensible, souvent mélancolique, se passionnant pour Joyce, Kerouac, les peintres italiens de la Renaissance, réfléchissant avec une exigence sans faille aux rôles qu'il lui fut donné d'incarner.

Le livre est composé de104 fac-similés des manuscrits de Marilyn Monroe accompagnés de leurs transcriptions, et de leurs traductions. Ces textes sont assortis de 33 photos, dont certaines sont visibles pour la première fois. Ces photos - qui toutes présentent Marilyn en lectrice ou en compagnie d'écrivains - éclaire la relation singulière que l'actrice entretenait avec la littérature.

 

       
       

 

 

                 Marilyn révélée

 

 

               

  

Des lettres et des poèmes inédits de Marilyn Monroe, Fragments. La comédienne Sylvie Testud a lu ce livre pas comme les autres.

 

                                

 

C'est comme si Norma Jane Mortenson, celle, devenue l'icône, star planétaire, scrutée, désirée, enviée, jugée, admirée, de tous et toutes, avait posé un jour ses yeux sur ce monde qui l'entoure, qui la presse, l'acclame, la hurle.

Qui sont-ils ? Qu'attendent-ils de Marilyn Monroe? S'ils étaient un jour déçus par elle ? Si sous la gaieté de Marilyn se cachait le trouble? S'il se mettait à transparaître. «Je suis toujours effrayée quand quelqu'un fait mon éloge, car, bizarrement, cela me fait souffrir et provoque en moi de nouvelles appréhensions - que tout cela est un accident et il est même probable que ce n'était pas moi du tout.»

Si elle n'arrivait plus à jouer le rôle qu'on lui a confié? Des sentiments trop forts, opposés, mal canalisés, mal gérés, interdits, l'empêchant de se concentrer. «Avoir honte d'être à fleur de peau - voilà la réalité.» Comment faire pour être toujours à la hauteur? Elle cherche. Elle s'interroge. Qui détiendrait la vérité ? Il faut qu'elle travaille son art qui va «beaucoup plus loin que la science» , elle a retenu du cours d'art dramatique.

 

«Poupée de son» 

 

C'est comme si Norma Jane Mortenson cherchait la vérité dans la réalité vue, attendue de tous: Marilyn. Si, au fond, elle n'était pas, ne méritait pas, se trouvait au-dessous de l'image qu'elle renvoie? La blonde, lumineuse, souriante, sexy, fatale, enfantine, ne veut, ne peut pas décevoir. Elle aurait «honte», le terme revient souvent. Marilyn se torture, sonde les livres, les pensées, dans lesquelles elle fonde tant d'espoirs. Shakespeare, Miller, Joyce… Elle aurait lu Ulysse. Elle travaille sans cesse. Toujours plus. «Mon travail est le seul espoir fiable que j'ai.» Elle est seule face à son désarroi. «Seule !!!!! Je suis seule. Je suis toujours seule quoi qu'il arrive.» Elle manque de confiance dans les autres, mais encore plus en elle. Elle est une «danseuse qui ne sait pas danser». Mais elle «veut travailler».

Alors Marilyn se fouille, cherche en elle, se tourmente, se dissèque ou se sent disséquée. Qui son intérieur intéresserait-il, s'il était mis au jour, sans qu'elle ne le remplisse ? Son professeur de théâtre lui demande d'éprouver, de ressentir. Il devient son chirurgien en l'ouvrant. Elle fait le cauchemar: «Et il n'y a absolument rien - Strasberg est profondément déçu et même plus - professionnellement surpris d'avoir pu faire une telle erreur, il pensait qu'il y aurait trouvé tellement de choses.» Elle se compare à une vieille poupée de son, pleine d'un «vide complet». Dans son introspection, elle culpabilise de n'être pas meilleure, de ne pas détenir la bonne émotion. Elle éprouve de la peur. Éprouver la peur est douloureux, mais c'est aussi sentir son cœur battre, mettre ses sens en éveil.

 

Impossible perfection 

 

Elle n'évite pas le danger, l'abîme qu'elle sent s'ouvrir sous ses pieds. «Comment ça va ma tête», elle se demande si son chemin va dans la bonne direction. Dans le tumulte du questionnement, elle se perd, se heurte, se retrouve un instant, pour se perdre plus encore. Elle s'accroche à une réflexion, une autre, à la pensée de celui, semblant détenir la clé. Qui l'aidera ? Elle tente de percer le mystère, son mystère, celui de son art. Soulagée d'entendre un jour une révélation de Lee, qui sait ce qu'elle ignore. Lee capable de révéler l'artiste, a affirmé: «2 et 2 ne font pas forcément 4.»

Marilyn ne veut rien rater, pas même un dîner, préparé pour une amie. La liste est méticuleuse. De la vaisselle aux ingrédients, de la cuisson à la présentation, rien ne peut être négligé ; là encore, ce doit être parfait. Exceptionnel. Lors de ce bouleversant internement, à la clinique Payne Whitney, où les médecins tentent d'ignorer le phénomène, en demandant à Mari­lyn pourquoi elle se sentait si «différente». Elle répond simplement: «Par ce que je le suis.»

Marilyn n'est pas comme tout le monde. L'actrice Marilyn Monroe n'est pas une star, elle est un mythe. Elle le sait, elle y tient, mais c'est un poids, une charge lourde à porter. Et d'ailleurs les mythes sont-ils des êtres vivants ? Elle songe à se supprimer. Comment le faire sans abîmer ce qu'elle a offert au monde entier ? Jusqu'à sa fin doit être exceptionnelle, sans blessure apparente.

«Je sais que je ne serai jamais heureuse, mais je peux être gaie !» Marilyn a porté le lourd fardeau de ce qu'elle est encore aujourd'hui: une légende.

 

Fragments de Marilyn Monroe, édité par Stanley Buchthal et Bernard Comment, traduit de l'anglais (États-Unis) par Tiphaine Samoyault, préface d'Antonio Tabucchi,Seuil.

 

 

Les archives intimes de Marilyn publiées

Par Eric Neuhoff 

  • Marilyn Monroe en 1956.
    Marilyn Monroe en 1956. Crédits photo : Rue des Archives/Credit: Rue des Archives/AGI

     

     

    Lettres, photos, contrats, bijoux… L'actrice gardait tout. Un livre émouvant, MM-Personal, les dévoile.

     

    L'une est brune, l'autre grise. Ce sont deux armoires métalliques. Marilyn Monroe les avait achetées à New York en 1958. L'actrice y conservait ses archives. Heureusement qu'elle était maniaque. Il y a tout: 5.000 photos et documents. On pensait que tout cela avait disparu depuis quarante ans. Inez Melson, qui s'occupa de la carrière de l'actrice de 1954 à 1956, avait récupéré ces trésors. La première fois qu'elle vit Marilyn, elle tomba sous le charme: «On aurait dit une peluche.» L'impression domine, en feuilletant le beau livre MM-Personal (en librairie le 23 février), de pénétrer dans la caverne d'Ali Baba. On plonge son nez dans ces pages avec l'avidité d'un chien truffier. Les fétichistes seront aux anges. Une vie se confond avec le fameux petit tas de secrets dont parlait Malraux. Voici Marilyn intime, cachée, ses contrats avec la Fox, ses ordonnances, ses factures. Ce pêle-mêle forme les sous-titres d'une existence. Celle-ci ne fut pas commune.

     

    20.000 lettres de fans par semaine

     

    Comment être Marilyn? En 1954, elle recevait 20.000 lettres de fans par semaine. On la demandait en mariage, se souciait de sa santé, la réconfortait après ses fausses couches. Sur sa boîte aux lettres, la star avait été obligée d'inscrire un nom d'emprunt, Marge Stengel. Le livre contient des trésors: un cliché inédit de 1947 avec des surfers de Malibu, un mot de Somerset Maugham qui la remercie de lui avoir souhaité son anniversaire en 1961, la boîte à bijoux en cuir avec les initiales JDiM (Joe DiMaggio) gravées dessus, le flacon de Chanel N°5 qui était sans doute dans sa chambre la nuit de sa mort. Voici une reproduction de son carnet d'adresses, la collection de timbres qu'elle gardait depuis son enfance.

    L'album possède un charme étrange, à la Modiano. Il flotte là-dessus un parfum de mystère, une tristesse rétrospective. «J'étais une erreur. Ma mère ne m'a pas voulue.» Bien sûr, le numéro de Life en janvier 1959 battit des records de vente. Cela n'explique pas pourquoi Gladys, la mère de Marilyn, qui était dans une institution psychiatrique, glissait des lames de rasoir dans les enveloppes qu'elle destinait à sa fille. Pourquoi écoutait-elle ces disques de Sinatra? À quels dîners correspondaient ces notes de restaurant? Pour quel homme avait-elle envie de porter ce manteau léopard («Je veux que tu me voies comme un animal prédateur»)?

     

    «Je ne suis pas un gadget érotique»

     

    Les bijoux étaient ses meilleurs amis. Elle en offrait souvent. Parmi ses reliques, figurent une broche dorée en étoile, un sac à main en bakélite, un collier de soixante-neuf perles. La légende, qui a pourtant le bras long, ne précise pas avec exactitude si ces dés en jade ont été un cadeau de John Huston sur le tournage des Misfits. De sa tournée de quatre jours en Corée en février 1954, elle rapporta ce kit de couture militaire. En 1952, Cecil Beaton la fit poser au lit dans sa suite de l'hôtel Ambassador. Le scénariste Ben Hecht se chargea de rédiger sa Confession inachevée. Un contrat reproduit ici en fait foi. Aux enfants d'Arthur Miller, elle adressait des missives où elle se mettait avec drôlerie dans la peau d'un chien ou d'un chat. À d'autres relations, elle racontait son dîner de la veille avec Robert Kennedy («Il a un formidable sens de l'humour. Il ne danse pas mal non plus.») On la sent soudain conquise, amoureuse.

    Ces sentiments sont noyés au milieu de chèques par dizaines, de livrets bancaires, de télégrammes de la Western Union. La solitude devait être écrasante, dans sa maison de Brentwood. «Je veux devenir une artiste, pas un gadget érotique. Je ne veux pas être vendue comme un aphrodisiaque sur pellicule.» Dans ses tiroirs reposaient les coupures de presse la concernant. À des journalistes qui lui demandaient quelle était sa religion, elle répondit: «Freud.» En 1960, elle soutenait Fidel Castro. À son enterrement, on diffusa Over the Rainbowde Judy Garland. Pour l'occasion, son ex-mari DiMaggio avait commandé un cœur de roses rouges. Telle était l'imprévisible, la méconnue Marilyn Monroe. Elle avait même eu le projet d'écrire un livre de recettes. Sa bouillabaisse était réputée. Certains l'aimaient chaude?

    MM-Personal. Les archives privées de Marilyn Monroe, de Loïs Banner, photographies de Mark Anderson, Éditions de La Martinière.

     

    » VIDEO Images inédites du tournage des Misfits

 

Source : Le Figaro.fr

 

 

La vie de Marilyn Monroe vue par… son chien

 

 
Marilyn Monroe chien maf livre

 

Marilyn Monroe a été le sujet de bien des biographies, révélant des secrets plus ou moins absurdes et mettant à jour les rumeurs les plus folles.

L’écrivain Andrew O’Hagan nous redonne de l’intérêt pour le sex-symbol des années 50 en publiant Vie et opinions de Maf le chien et de son amie Marilyn Monroe, qui relate les dernières années de la star à travers le regard de son chien.

Maf est un Bichon maltais blanc né en 1960 que Franck Sinatra, un ami de Marilyn, lui a offert après sa rupture d’avec Arthur Miller. La blonde plantureuse a immédiatement eu le coup de foudre pour le chien qui est devenu son complice.

Maf était de toutes les sorties de la star, il la suivait partout : en voyage aux 4 coins du monde, dans les vernissages, les bars, les réceptions… Mais il est aussi son compagnon du quotidien et se trouve à ses côtés à la maison, ou même chez le psy. Maf aura vraiment été le plus proche compagnon de Marilyn Monroe durant ses dernières années.

Ce livre est un concentré d’humour basé sur des faits réels, et révèle toute la fragilité de la célébrité. La dépression de Marilyn est analysée du point de vue de son chien qui ne comprend pas cette maladie humaine.

Maf a tout d’un humain dans un corps de chien et il ne manque pas d’avis sur la société américaine des années 60. Il aura suivi Marilyn jusqu’au bout sans pouvoir, comme les autres, empêcher l’événement tragique qui a emporté cette icône du XXème siècle.

 
 

 My Week with Marilyn

 

            My Week with Marilyn
 

Synopsis et détails

Au début de l’été 1956, Marilyn Monroe se rend en Angleterre pour la première fois. En pleine lune de miel avec le célèbre dramaturge Arthur Miller, elle est venue tourner LE PRINCE ET LA DANSEUSE, le film qui restera célèbre pour l’avoir réunie à l’écran avec Sir Laurence Olivier, véritable légende du théâtre et du cinéma britanniques, qui en est aussi le metteur en scène. 

Ce même été, Colin Clark, 23 ans, met pour la première fois le pied sur un plateau de cinéma. Tout juste diplômé d’Oxford, le jeune homme rêve de devenir cinéaste et a réussi à décrocher un job d’obscur assistant sur le plateau. Quarante ans plus tard, Clark racontera ce qu’il a vécu au fil des six mois de ce tournage mouvementé dans son livre, « The Prince, the Showgirl and Me ». Mais il manque une semaine dans son récit… 
Son second livre, « Une semaine avec Marilyn », relate la semaine magique qu’il a passée, seul, avec la plus grande star de cinéma du monde. 
Tour à tour drôle et poignant, MY WEEK WITH MARILYN porte un regard intime et rare sur l’icône de Hollywood, en racontant le lien aussi bref que puissant qui s’est noué entre cette femme exceptionnelle et le jeune homme qui a su la comprendre mieux que le reste du monde.

 

 


MY WEEK WITH MARILYN : BANDE-ANNONCE VF Full HD

 
 
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  • Ce blog s'adresse à toutes celles qui souhaitent révéler la beauté, le bien-être, la vitalité et le charisme qui sommeillent en elles. Se trouver, se retrouver, c'est tellement délicat. Mon objectif : Réveiller la femme que vous êtes
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